L’inquiétante manipulation sur le coronavirus !

coronavirus-Image par Pete Linforth de Pixabay

La manipulation, c’est un thème que j’ai évoqué en mai 2019 dans une chronique titrée « Émancipation ou manipulation » qui reprenait la réflexion de Noam CHOMSKY de son livre « Propaganda ».
Le gouvernement vous veut du bien ? Ne le croyez pas sur parole ! Ne me croyez pas non plus sur parole… Faites des recherches, cultivez-vous, lisez… Vous êtes citoyen, vous avez la responsabilité de vous renseigner, de chercher, d’analyser…

Comprendre ? Que serions-nous sans cela !
La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident, au contraire de la propagande qui nous induit à accepter pour évident, ce dont il serait raisonnable de douter.
C’est sur ces bases que j’ai mené une enquête sur les effets sociétaux du coronavirus… Je compare ma réflexion, mes recherches à la composition d’un puzzle… Je mets des pièces l’une après l’autre… avec, c’est nécessaire, un peu d’humour… Et le tableau apparaît… Avec toujours le doute au cœur de ma démarche ! 

Historiquement déjà.
Le coronavirus ? Plus de 5.000 types de coronavirus existent, et ce depuis des centaines de millions d’années. Sapiens vivait déjà avec.
Plus de 500 ont été isolés. Ils ont pris de plus en d’importance au XXI° siècle. Leur propagation a été facilitée par une concentration urbaine de + en + importante et une accélération des modes de production et de transport. Nous consommons et détruisons l’espace vital des animaux. Se sont alors créées des zoonoses (1), c’est la première cause de la crise sanitaire que nous vivons, elle est donc issue de notre responsabilité collective. Mais pourquoi avons-nous arrêté les recherches publiques sur les coronavirus, mises en cale sèche en 2006 ? On se dit tout de même qu’avec quinze ans de continuité dans l’effort, on aurait pu en savoir un peu plus sur leur compte.

Venons-en à la crise du coronavirus 2020.
Non seulement les coronavirus existent depuis très longtemps, mais ils évoluent et évolueront constamment… Ce qui veut dire que quand une épidémie démarre on ne peut pas savoir, si elle sera forte, faible ou bénigne… C’est comme lorsqu’un incendie se déclare, il faut agir le plus vite possible. C’est ce que l’on n’a pas fait ! Tout le monde convient que cette gestion de crise sanitaire par le pouvoir a été lamentable.
J’ai évoqué cela dans ma chronique de mai 2020 « Comparaison n’est pas raison ». Avec le recul du temps, je me pose toujours la question du changement de stratégie de Macron. Qui a influencé le pouvoir exécutif français ? Et pourquoi ? Sont-ce les fausses prévisions statistiques de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson qui n’a cessé de faire des prédictions totalement erronées dans sa carrière et qui ont conduit à « aggraver un problème sanitaire d’ampleur parfaitement maitrisable » ? (Il a d’ailleurs démissionné depuis).
En tous cas, en France, la mauvaise stratégie comme l’impréparation et affaiblissement depuis des années de la recherche, de l’hôpital, ont limité les réponses possibles jusqu’à conduire au choix le plus mauvais : le confinement avec des conséquences désastreuses.  

  • De santé d’abord. En effet pourra-t-on compter le nombre de victimes collatérales par retard ou manque de diagnostics et de soins ? Notamment pour les cancers (mais pas que) où un retard de 3 ou 6 mois équivaut à une perte de chance de guérison ;
  • Économiques ensuite. Un désastre, à priori incompréhensible (à priori seulement, je donnerai mon point de vue en fin de chronique). L’économie réelle a été sinistrée et risque de se dégrader encore plus fortement (augmentation du chômage, de plus en plus de TPE, de PME et de commerçants en difficulté)
  • Une augmentation des violences conjugales ou domestiques (+40%) ou d’autres risques comme l’alcoolisation, les maladies mentales. Les services sociaux et psychiatriques subissent une pression extraordinaire !
  • Une vie culturelle, sociale, associative, sportive en grande difficulté. Augmenter la distance entre les individus dans une société de plus en plus individualiste : il fallait le faire ! Comment, après cela, « re-tricoter » les liens sociaux ?
  • Des « clusters » familiaux : les personnes se contaminaient entre elles. Ceci a été confirmé par deux études en Italie et Espagne ! On a constaté cela aussi dans des espaces particuliers comme les bateaux (cf. Le porte-avions Charles De Gaulle et des bateaux de croisière.)

Ce confinement a joué le rôle du « pompier pyromane » !
Nous avons vu pendant cette période.
De la part du pouvoir : des mensonges, une désinformation constante, une communication de crise délirante, irrationnelle, antinomique avec le calme et la cohérence nécessaires en de telles circonstances… Cela est très grave. À court terme, la manipulation se transforme en manque de confiance et de crédibilité. Ce qui rend difficile la construction de toute société… Et pendant ce temps on n’a plus parlé des problèmes sociaux, des migrants, des choix politiques en matière d’économie, d’écologie, etc.… Tout a été mis à l’arrêt ou en hibernation. Pire on profite de cette situation pour passer en état d’urgence sanitaire et favoriser l’allongement de la durée du travail ou pour mettre la société sous surveillance numérique (smartphones connectés).
De la part des principaux médias : ils ont relayé, que dis-je, matraqué à longueur de journée les chiffres liés au coronavirus qui tournaient en boucle… diffusant des messages anxiogènes, citant des chiffres bruts, sans les transposer en pourcentage, sans les mettre en perspective. Ce qui a généré de l’inquiétude, de l’angoisse supplémentaires : une épidémie de peur… Imaginons des bandes d’annonces continuelles défilant sous l’écran de BFM, C-News, ou France-info, etc. annoncer : 460 morts / jours du cancer ! 420 morts / jours par maladies cardio-vasculaire ! 110 morts / jours par les maladies de l’appareil respiratoire hors coronavirus ; 27 suicides / jours ! etc.
Le virus le plus dangereux, ce sont ces médias de formatage de l’opinion : la peur pénètre les esprits, les trouble et la raison déraille…
Afin de resituer les choses, il me semble nécessaire de faire un rappel des grandes crises sanitaires précédentes. La grippe espagnole, dans les années 1920, c’est 50 millions de victimes sur un total de 1,9 milliards d’habitants et une majorité des personnes jeunes.  La grippe asiatique en 1957, c’est entre 1,1 et 2 millions de victimes sur 2,9 milliards d’habitants.  La grippe de Hong Kong en 1968 entre un million de victimes pour 3,6 milliards d’habitants, dont 30 000 victimes en 2 mois en France. Ces dernières années les infections ont tué 2,5 millions de personnes. Tout cela a été géré alors que les moyens disponibles étaient largement inférieurs.
Chaque année, la grippe entraîne en moyenne entre 15 000 et 30 000 décès. En 2017, 17 000 victimes. En 2018, 13 000 victimes (dont 95% plus de 65 ans). Sur le site de Santé Publique France, les statistiques de la grippe, en 2020, ont été stoppés pour être remplacés par celles du coronavirus… Ainsi la grippe de 2020 n’aurait tué que 72 personnes ?
Bizarre, bizarre ! Tout cela m’a intrigué, je suis allé sur le site de l’INSEE pour chercher le nombre de décès, en France, des douze derniers mois de juillet à août, sur les deux dernières années.
2019/2018 = 608.824 décès sur 12 mois.
2020/2019 = 621400 décès sur 12 mois.
Souvenons-nous : 12752 décès de plus entre deux mêmes dernières périodes !
Encore, selon l’INSEE : entre le 1ᵉʳ mai et le 7 septembre 2020, 200 594 décès sont enregistrés en France à la date du 18 septembre, soit le même niveau qu’en 2019 et 1 % de plus qu’en 2018. 

On sait maintenant que 98% des personnes infectées guérissent spontanément, leur système immunitaire étant suffisamment robuste.
On sait maintenant que le taux de létalité de cette maladie se situe probablement autour de 0,2%, ce qui est comparable à une grippe forte. Alors que l’OMS indiquait un taux quinze fois supérieur à la réalité (voir le livre de Jean-Dominique Michel  (2) On sait maintenant que le coronavirus génère de complications respiratoires potentiellement mortelles chez les personnes les plus fragiles : les personnes âgées, les personnes obèses et les personnes déjà atteintes par d’autres pathologies ayant sérieusement entamé leurs défenses (maladies auto-immunes, maladies respiratoires, maladies cardiovasculaires, cancers, diabètes de type 2, etc.).
On aurait pu croire à la fin de cet épisode chaotique et hystérisé, que la vraie-fausse pandémie soit terminée.
Que nenni !
Depuis le printemps, on nous annonce pour l’automne ou le début de l’hiver, la fameuse 2° vague. Aujourd’hui, de plus en plus de spécialistes, professeurs de médecine, comme Christian PERRONE, Jean-François TOUSSAINT, Didier RAOULT, etc. auxquels se joignent de plus en plus de médecins, tous estiment que l’épidémie de coronavirus est maintenant terminée. Ce qui ne veut pas dire que le virus est mort… Il mute « normalement », comme il a fait depuis des années. On pourrait dire qu’actuellement il s’agit de formes bénignes. En tous cas ce n’est plus la même maladie qu’en février… Comme nous l’expliquions en préambule, le coronavirus fait partie de ces virus qui reviennent tous les ans. Cela n’a rien d’exceptionnel !
Alors qu’en Allemagne on a testé d’emblée massivement pendant la crise sanitaire, en France, ces tests auraient été très utiles en Février ou Mars 2020 pour isoler les vrais positifs avec une charge virale importante qu’il aurait fallu traiter avec l’hydroxychloroquine + azithromycine + zinc (HCQ+AZT+Zinc). Un traitement en phase précoce qui soigne sans garantir une guérison, mais appliqué dans 50% des pays.
Mais il aura fallu attendre juin pour commencer à tester massivement. Sauf que l’on omet comme d’habitude de mettre les chiffres en perspective… Par l’intermédiaire des médias, on affole les gens, souvent des patients plus jeunes, souvent asymptomatiques, souvent en bonne santé et dont le risque de mort est ainsi négligeable. Et personne n’y comprend plus rien !
Sur le site coronavirus.fr, on annonce, pour la France, au 28 septembre dernier : 10 536 005 personnes testées (coût d’environ un milliard d’euros, payés par la sécurité sociale) pour 417 384 cas positifs soit 4%. On peut déjà dire que 96% des personnes sont testées négatives parce que asymptomatiques.  
Or, les professeurs TOUSSAINT, PERRONE, RAOULT nous disent que les tests PCR effectués en France ne sont pas totalement fiables du fait du taux d’amplification de l’ADN qui serait trop haut (normalement 20 à 25, en France 40 à 45), et plus on amplifie, plus on a le risque d’avoir des « faux positifs ». Ils sont de plus en plus nombreux pour dire que le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actifs ou non. Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voire plus. C’est la raison pour laquelle, le nombre de cas « faux-positifs » augmente.
Rajoutons que le résultat du test arrive souvent plusieurs jours après… Le temps pour une personne de contaminer tout son entourage… Une fois que sa contamination est avérée, on l’appelle « malade » et on nous dit que la situation est grave… Dans les médias, la carte de la France passe du vert, lors de la fin de l’épidémie, c’est à dire depuis fin mai, au rouge. Même le journaliste David PUJADAS s’est montré surpris !
On nous annonce plus d’hospitalisations. Comme la maladie s’affaiblit et que les soignants connaissent mieux ce virus, les gens sont mieux soignés et sortent plus vite.
Il n’empêche, la campagne de peur continue.
Récemment le département de l’Aude a été classé en zone rouge… plus de 50 personnes contaminées pour 100 000 personnes… Depuis le 1° juin 48270 personnes ont été testées dont 1159 positives. On compte 2 décès, certes de trop, mais sur 380 000 habitants ! Pendant dans la même période, 317 personnes sont mortes du cancer et 290 de maladies cardio-vasculaires. Bref…
Mais on connait à présent les conséquences possibles à l’initiative de la Préfète :

  • Limiter les déplacements à un rayon de 100 km, à un département ou à une ville ;
  • Fermer partiellement ou complètement les établissements recevant du public (ERP) non essentiels (par exemple des salles de spectacles, des centres commerciaux, des gymnases, des musées…), des lieux de réunions ou des lieux publics (rues, jardins, parcs, plans d’eau, plages …) ;
  • Interdire la tenue des marchés, couverts ou non et quel qu’en soit l’objet ;
  • Limiter voire interdire des rassemblements (à plus de 10 personnes).

Pendant ce temps, le premier ministre annonce qu’il faudra s’habituer à cette situation jusqu’au printemps 2021… En arguant une prochaine grippe saisonnière : un nouveau coronavirus ? Avec le secret espoir que le pouvoir apparaisse à ce moment-là comme un sauveur en vue des élections 2022. Je ne peux m’empêcher d’y voir plus de la manipulation politique qu’un véritable souci de santé publique, ce qui ne justifie pas de mettre la société sous anesthésie.
Je me pose maintenant une autre question. Ne sommes-nous pas, à nouveau, devant une nouvelle erreur stratégique ? Alors que le virus aujourd’hui est affaibli, ne serait-ce pas le moment, comme en Suède, au Danemark, aux Pays-Bas, en Finlande, de permettre une immunité collective ? J’ai entendu le Professeur CAUMES évoquer cela, moyennant quoi il a reçu en retour une volée de bois vert ! C’est pourtant la stratégie des pays nordiques : dans les rues, les supermarchés, dans les bus, 5 à 10% des personnes portent un masque (souvent les personnes à risques), contre 78 % en France, 88 % en Espagne et 77 % aux États-Unis. Les quatre pays nordiques attendent toujours les “preuves” de l’efficacité du masque.
En France, plutôt que de rassurer et de prendre en considération la réelle ampleur de la chose, on continue à nous obliger à porter un masque de plus en plus souvent, dans plus en plus de lieux et même à l’extérieur ! On nous menace d’amendes de 135 € avec une possibilité de peine de prisons en cas de récidive ! Et ceci, au moment où un nombre croissant de personnes dénoncent l’inefficacité technique des masques face à un virus très faible en été, voire du danger que le masque représente lorsqu’il est que mal utilisé, parce que gênant la respiration et parce que cumulant le CO2 que nous évacuons. Comment ne pas imaginer les dégâts physiques, psychiques, sociétaux, lorsqu’on décide d’empêcher, de gêner les gens de respirer ? On va mourir étouffés si ce n’est réellement, au moins symboliquement !  Le masque est un bâillon (ce qui constitue un symbole fort), le porter tend à devenir comme une mode : un phénomène moutonnier, sans fondement rationnel, juste de l’imitation.
Il vient de se passer quelque chose de terrible, dont nous n’avons pas encore conscience de toutes les conséquences : notre société est anesthésiée, sans ressorts, conditionnée à l’acceptation passive d’un système de plus en plus contraignant et déshumanisant…
Confinement, masques, distanciation : c’est toucher à ce qu’il y a de plus sacré. Ce qui nous construit, nous constitue en tant qu’être humain. Quoi de plus beau qu’un sourire pour dire que l’on s’est compris ou qu’une expression de visage complice une expression d’humanité. Le masque c’est l’annulation d’une grande partie des émotions. Le masque c’est une approche dramatique de notre condition, alors qu’il faudrait dédramatiser. Nous devons résister à cette mascarade ! Rire, échanger… VIVRE !
A quoi pensent nos gouvernants pour prendre des décisions aussi traumatisantes ? Les enfants masqués à l’école ! Quelles conséquences sur leur psychisme ? Sur leurs besoins de sécurité, de confiance ? On a culpabilisé les directeurs d’école, on bloque tout, on sécurise tout… On est dans un délire collectif au sens psychologique du terme. Cela va produire des dégâts monstrueux.  

N’ayant pas confiance aux médias dominants qui ne jouent pas leur rôle de contre-pouvoir et considérant que j’ai acquis suffisamment d’esprit critique, je regarde des vidéos sur les médias sociaux… Souvent, elles sont émises par des soignants-es, des infirmiers-es, des médecins, des scientifiques ou plus simplement des « lanceurs d’alerte », lesquels prennent des risques. Les vidéos sont quelquefois supprimées dans la journée ! N’y-a-t-il pas de quoi s’inquiéter ? Pourquoi les débats sont toujours orientés dans le même sens, avec les mêmes « experts » ?
Je ne suis pas le seul à aboutir à ce constat. Serais-je complotiste ? Une telle accusation est souvent le fait de gens qui, soumis au matraquage et au formatage des médias, ont perdu toutes capacités de pensée critique, de débat. Elles sont tellement fragilisées, conditionnées, qu’une argumentation ressentie par eux comme contraire, peut susciter leurs suspicions jusqu’à la haine. Dans de telles conditions, les gens n’entendent plus que ce qu’ils veulent bien entendre. Pour autant, quand je vois toute l’intox, la manipulation de l’opinion qui sont diffusées jour après jour, je pense qu’on peut effectivement se demander s’il y a complot et dans l’affirmative de la part de qui ?
En cherchant, en réfléchissant un peu, on voit bien les intérêts de telles campagnes d’intox…Le fond du problème, est que cette crise relève d’un système cohérent avec une gouvernance néolibérale mondialisée. Pour moi, il ne s’agit pas d’un complot, mais simplement de manipulations menées par de nombreux acteurs, prêts à se massacrer entre eux à la première occasion, et qui profitent de la situation pour servir leur propre cause : ainsi l’industrie pharmaceutique qui y voit l’occasion de multiplier ses bénéfices. les organismes financiers (que l’on annonçait en déroute) qui pensent pouvoir épurer leurs dettes, les États pour se sauver face à leur remise en question par leurs citoyens, les entreprises de communication et autres Gafa (qui ont vu leurs cours en bourse s’envoler) pour vendre leur technologie et renforcer leur emprise planétaire, les eugénistes pour réduire la population, les banques mondiales pour changer le système économique, etc.…
Autant de vautours qui se sont jetés sur l’opportunité du coronavirus en espérant qu’il reviendra tous les ans (2° vague !). Il y aura toujours un coronavirus qui passe par là, autant en profiter… Et la nouvelle normalité de nos sociétés sera la soumission !
Souvenons-nous du discours de la servitude volontaire de La BOÉTIE en 1576.
« Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté, qu’il lui est impossible de se réveiller pour la conquérir, que l’on dirait, à le voir, qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté, mais gagné sa servitude. »
Servitude ? On y va avec l’annonce d’un « passeport sanitaire », réservé à ceux qui suivent les consignes, ceux qui se seront fait vacciner, qui accepteront d’être traqués au moyen leurs smartphones ; tout ça en attendant de bénéficier, comme en Chine, du « crédit social » réservé à ceux qui auront un bon comportement. Tu obéis et tu as droit. Sinon tu es puni !  
Une poignée de psychopathes ne peut contrôler le monde que si nous y consentons et nous l’acceptons. Une poignée de résistants peut le sauver : ils n’ont jamais été bien nombreux. La psychologie sociale parle en général de 1% capable de remettre en question le pouvoir lorsqu’il dérive sur un mode totalitaire.
La situation est grave ! Nous sommes pris entre « Big Brother » d’ORWELL (déjà là) et « Le Meilleur des mondes » d’HUXLEY (qui arrive) ? (Ndlr. Il faut absolument lire ces ouvrages fondamentaux et oh combien, d’actualité !) Quel est le but de cette diffusion constante de la peur ? (Lire Naomi KLEIN (3),  ou encore Noam CHOMSKY et son livre « Propaganda » ! ).

Inquiétant, n’est-ce pas ? Tout ceci, au moment où nous sommes face à des enjeux écologiques colossaux, à des bouleversements qui peuvent aller jusqu’à sa mise en péril de notre société, voire de l’humanité ?

Oncle JEF (avec l’aide de Mamé Nicole) pour le Clairon de l’Atax le 10/10/2020

 

Quelques liens pour compléter :

– La médecine déraille gravement PERRONNE : https://youtu.be/WjJnYXVgyUo   

– Un pneumologue lanceur d’alerte : https://youtu.be/NMXC8iVdEV0 

– JF TOUSSAINT : une épidémie due à nos comportements ?
https://www.facebook.com/watch/?v=1045495292573170&extid=R5aGaiIGjoGH1eoI

 

 

 

 

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Notes
  1. maladies infectieuses que les animaux peuvent transmettre aux humains[]
  2. [1] Jean-Dominique Michel, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020[]
  3. Naomi Klein la stratégie du choc  https://youtu.be/Mm8PZFz9T-E[]
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