Magnifique et poignante chronique de RISS dans le dernier Chalie hebdo de cette semaine(no 1584 du 30 novembre) consacrée à la corrida, ce spectacle de mort et de cruauté que certains osenr appeler (horreur)” bien culturel”. Il démontre sans contestation possible la manière dont sont préparés, fatigués, torturés, martyrisés les taureaux afin qu’ils puissent être mis à mort sans faire courir de danger au torero qui expédie le spectacle de mort en quelques minutes. Et, il nous retrace, et on est saisi d’effroi, “à un moment donné un lourd silence s’est abattu sur l’arène, on n’entendait plus que le souffle de la bête qui avait, enfoncée dans le corps une épée de 1 mètre de long. Le taureau se mit alors à mugir, un long mugissement qui mit tout le monde mal à l’aise. Il était clair que la bête souffrait…”
(S’est déroulé dans les arènes de Nîmes, où Riss s’est rendu pour savoir de quoi on parle).
On croit entendre ce mugissement de douleur, de détresse, et la colère devant tant de bêtise et de cruauté monte en nous.
Catherine Burger
C’est bien courageux de la part de Riss d’avoir assisté à une corrida. Je n’aurai pas ce cran-là.
Rien que de le lire, comme Catherine, moi aussi je l’entends “ce mugissement de douleur, de détresse” et cela me tire les larmes…
Je suis adhérente et donatrice à l’association très active Alliance Anticorrida, basée à Nîmes. Rejoignez-nous ! : https://allianceanticorrida.fr/
Tout à fait d’accord Martine, il faut soutenir les associations qui luttent contre la corrida