Vers une dictature sanitaire ?

J’hésite entre deux options. - Soit il s’agit d’une manipulation calculée qui serait mortifère afin de nous faire accepter un système politique que la majorité de nos concitoyens refusent… - Soit nous sommes gouvernés par une bande d’incapables qui, à force d’erreurs successives, ont mis en grande difficulté l’économie, ont déconstruit nos relations et anesthésier notre société, laquelle n’avait pas besoin de cela…

Image par Ria Sopala de Pixabay

            Suite à ma chronique d’octobre dernier, intitulée : « l’inquiétante manipulation du coronavirus », je voudrais prolonger ici ma réflexion. Nous avions d’abord constaté l’impréparation de notre système de protection sanitaire et médicale, depuis des années, du fait d’une politique néolibérale destructrice, menée par les gouvernements qui se sont succédés au fil des ans :

  • Arrêt des recherches fondamentales au CNRS dans les années 2000, sur les coronavirus.
  • Destruction de l’ÉPRUS (Établissement Pour l’Urgence Sanitaire en charge des équipements et des procédures) sous le mandat Hollande. (1)
  • Destruction de l’hôpital public : suppression de personnels et de lits (96 000 lits supprimés en 15 ans)

Passons rapidement sur les épisodes « folkloriques » du premier quadrimestre 2020 :

  • Les déclarations « rocambolesques » sur l’utilité ou non des masques de Sibeth DIAYE, Jérôme SALOMON, Olivier VÉRAN resteront dans les mémoires ;
  • La décision d’Agnès BUZYN sur le classement de l’hydroxychloroquine dans les substances vénéneuses : un vrai scandale sanitaire qui a entraîné des actions en justice ;
  • Alors qu’il existe déjà des « hauts-conseils » de la Sécurité Sociale, de la Santé et autres instances, pourquoi organiser un conseil scientifique « ad’hoc », composé de personnes ayant souvent des conflits d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ?

Tout cela a certainement contribué à ce que la gestion de la crise par le pouvoir soit lamentable… toujours à contretemps.
C’est dans un tel environnement que Macron a fait ensuite le plus mauvais choix : celui du confinement total d’une population saine ! Cette décision a joué le rôle du « pompier pyromane » avec des conséquences désastreuses : « clusters » familiaux (augmentation des contaminations familiales, tensions et violences), désastre économique, conséquences sociales dramatiques, destruction de la vie culturelle, sociale, associative, sportive, scandale dans les EHPAD, sans oublier les nombreuses victimes collatérales par manque de soins de santé. Comme l’a dit le professeur Marc GENTILLINI : « le confinement fera plus de dégâts que le virus lui-même. ».
Pendant cette période, des messages anxiogènes ont été constamment diffusés par les médias dominants, relayés par l’opportunisme du gouvernement qui utilise la peur pour gouverner… Créant ainsi un climat de psychose collective… C’est une stratégie classique de conditionnement : faire peur aux gens pour qu’ils demandent des mesures, même contraignantes. Une forme de servitude volontaire qui pourrait nous faire assumer notre condition de « moutons ». Ce qui n’invite pas à rationaliser la situation.
Dès la fin du premier confinement, nous avons entendu le premier ministre déclarer : « Il faudra s’habituer à cette situation jusqu’au printemps 2021… », ou encore « il faudra s’attendre à une seconde vague » ! Des prévisions « d’astrologues », entendues tout au long de l’été, qu’aucun épidémiologiste sérieux n’aurait osé faire… Alors que, dès avril, le nombre de décès, comme celui des personnes hospitalisées, baissait, il m’a semblé que l’idée du pouvoir était de prolonger l’épidémie jusqu’à l’hiver… Comme si on espérait… qu’elle reprenne !

ORWELL « À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

Chacun se jetant à la figure « ses » chiffres sur la pandémie. Le site -Reinfocovid- essaie de remettre les choses à leur place : https://youtu.be/-1YVIYXXmew .
Déjà, en octobre, intrigué par les chiffres annoncés, j’étais déjà allé sur le site de l’INSEE[1] pour comparer le nombre de décès entre les années. J’avais remarqué un décalage notable. Pour continuer ma recherche, j’ai recompté les chiffres annoncés… qui étaient différents de ceux de septembre. Manipulations ? Je ne le crois pas. Simplement une inertie entre les faits et leurs intégrations dans les comptes.
Par rapport à la moyenne des 9 premiers mois des 6 dernières années, on constate en 2020 une surmortalité de 26662 décès, dont 23079 en mars et avril… Soit 3583 décès de plus sur les sept autres mois. En se rappelant que dans notre France vieillissante, l’arrivée en fin de vie des générations nombreuses du baby-boom, devrait entraîner une hausse du nombre annuel de décès.  
Pour ma part je retire de ces chiffres l’idée que le coronavirus a fait le même travail en 2 mois (mars, avril 2020) alors que la grippe le fait en 6 mois. On ne meurt pas plus, mais plus vite. Passons sur les décès attribués au coronavirus « par défaut ou facilité ».

La grippe ? Justement, parlons-en

En février 2020, les personnes victimes de grippe sont passées dans les statistiques du coronavirus… De ce fait le virus de la grippe aurait cette année quasiment tué personne ! Voir le site de la journaliste Pryska Ducoeurjoly :  https://pryskaducoeurjoly.com. Si les virus sont différents, les symptômes sont similaires… Habituellement, la grippe est classée comme Infection Respiratoire Aiguë (IRA) ce qui est aussi le critère pour définir un cas probable de coronavirus. Chaque année la grippe hivernale provoque entre 12000 et 30000 décès, soit en moyenne 12 000 victimes… et 2 000 par mois. Ou beaucoup plus, si vous prenez une base de 30000 décès… Quoiqu’il en soit, une source suffisante pour alimenter, cet hiver, l’angoisse de nos compatriotes, et le fonds de commerce des BFM TV et autres médias de formatage de l’opinion.
Les deux virus ont pour caractéristiques de s’essouffler avec le temps, en fonction de la saison, la température, l’humidité, les indices UV, etc. Les virus des coronavirus seront toujours là, comme ils l’ont été, pour le moins, depuis Sapiens. Il faudra s’habituer à vivre avec les virus qui vont de développer dans les zoonoses crées par l’activité humaine.
Donc, il y a peu de chance que nous guérissons du coronavirus… Ce qui ouvre un marché considérable aux vaccins, chaque année, comme celui de la grippe hivernale. Il va falloir en traiter les causes écologiques et surtout soigner nos comorbidités, conséquences de notre façon de vivre ou de mourir. On sait depuis longtemps que les Infections Respiratoires Aiguë s (IRA) affectent particulièrement des victimes chez les personnes âgées. Une forme de darwinisme qui ne fait qu’accélérer le processus de la vieillesse. On sait aussi  que la moyenne des décès coronavirus se situe à 86 ans, alors que l’espérance de vie moyenne est de 79 à 81 ans. On dit moins que nous avons d’autres façons de se soigner, résumées dans ces deux vidéos :
Mal traités https://youtu.be/y-QoU5rzbP4 
Nous avons un traitement https://youtu.be/blpV5QDJrn4
On sait aussi que les Infestions Respiratoires Aiguës (IRA), dont font partie les grippes et les coronavirus, se développent en hiver.
Mais pourquoi, dans ces périodes d’accalmies, n’a-t-on pas eu l’idée d’une immunisation collective contrairement à la Suède, notamment par les jeunes qui ne risquent rien. Le gouvernement a évincé cette stratégie. Immunisés ? Plus besoin de vaccins !

On a préféré déclencher une « épidémie de tests » au printemps ! On a vu des gens paniqués arriver dans les labos et hôpitaux ! Entre juin et septembre, plus de 7 millions de personnes ont été testées, avec un nombre important de faux-positifs, pour un coût de 2,5 milliards d’euros… payés par la Sécu. Et cela continue : les biologistes vont rouler en Ferrari !
Tester plus. Donc plus de « cas », mais pas malades à 97% ! En changeant les données des courbes statistiques (des « cas » à la place des décès !). On a vu la carte de la France, dans les médias, devenue verte au printemps, passer progressivement au rouge en septembre.
Tour cela au moment où de plus en plus de personnalités, de grandes institutions et instituts de recherche internationales, comme l’OMS, remettent en cause l’utilité, l’efficacité des masques, voire disent leurs dangerosités, https://youtu.be/v_Cjet14e9M. On nous a imposé, et on nous impose encore, le port du masque, jusqu’aux enfants dont on sait qu’ils ne sont que très, très, rarement victimes du coronavirus. Ce qui va générer des séquelles au plan psychique et mental. Mais à quoi pensent nos gouvernants pour prendre de telles décisions ?

De la même façon le confinement est remis en cause. Le Dr Louis FOUCHÉ, docteur réanimateur, explique bien cela https://youtu.be/nq4-LeWjBWQ. Il n’est pas le seul.
Faire que le virus ne se propage pas en utilisant le confinement est une absurdité. Non seulement, il créé des nids de contamination. Or un virus doit se propager dans l’air où il meurt très rapidement. Alors que confiné, il survit, mute, se propage. C’est ce que l’on voit dans tous les élevages industriels d’animaux où les animaux sont entassés… Donc au contraire, il faut aller où il y a de l’air qui circule, bouger, se promener, se ventiler, faire du sport… Du ski par exemple… Ce qu’apparemment n’a pas compris notre « lumineux » premier ministre ! (2)

Et les mesures sanitaires sont devenues de plus en plus strictes : nous avons connu les couvre-feux dans les grandes villes comme si le virus se transmettait davantage la nuit. Dans les restaurants, assis tu peux enlever ton masque, pour aller aux toilettes, il faut vite le remettre !
Noam CHOMSKY l’affirme : « Toute l’histoire du contrôle du peuple se résume à cela : isoler les gens des uns des autres, parce que si on peut les maintenir isoler assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi ! »
C’est ainsi que l’on a maintenu les gens dans des peurs et des délires les plus variés, avec comme message subliminal : on attend le vaccin ! Pourtant, en écoutant les spécialistes, on sait que le virus mute, comme tous les virus. Depuis juillet, il y aurait eu 7 mutations… Donc rien de comparable à l’épidémie de mars, avril passé.
Il n’est pas question de remettre en cause l’efficacité des vaccins qui ont permis à l’humanité de vaincre de grandes pandémies… Mais, ce que nous vivons est-ce une pandémie ou une épidémie saisonnière ?
La létalité, soit le nombre de morts sur le nombre de cas, est de 0,5%, ce qui veut dire que 99,5% des gens positifs survivent.
La mortalité, soit le nombre de cas gens qui « survivent » en prenant en compte toute la population, est de 0,05%, soit 99,95% des gens survivent !
Tout cela sans vaccins et avec une prise en charge sanitaire absurde : confinements, tests, masques.

Tout cela, nous fait poser beaucoup de questions
Pourquoi avoir déclarer l’état d’urgence sanitaire ?
Et pourquoi vacciner des personnes saines ? D’autant plus que les essais cliniques sont réalisés par les fabricants… Pour eux, les vaccins sont une aubaine financière, une manne à ne pas manquer et peu importe leur composition, peu importe l’éthique… Il faut qu’un maximum de personnes se fasse vacciner. On peut tout imaginer !
Mais pourquoi, le gouvernement, s’il croyait à une nouvelle vague, n’a-t-il pas augmenté le nombre de lits à l’hôpital, les postes et les moyens de l’hôpital ? J. CASTEX, haut fonctionnaire sous SARKOZY, a continué à appliquer sa méthode : il faut que les lits soient occupés en permanence, sinon « pas rentables », on les supprime… Alors on se « débrouille » toujours pour que les lits soient « pleins »… Peut-être l’explication d’une certaine saturation à la fin de l’automne ? Ce qui n’empêche pas que, cette année, 3700 lits vont être supprimés !
Revient alors cette question lancinante : pourquoi la médecine de proximité a-t-elle été shuntée ? Alors que la logique aurait été de prendre en charge les patients, de les diagnostiquer, de les rassurer, de les soigner et, éventuellement tester. Les 100 000 médecins libéraux de proximité, qui devaient être en première ligne, ont été interdits de soigner… Idem pour les 140 000 infirmiers-es. Sans cela, peut-être aurait-on mieux soigné les personnes « à risques » que sont les personnes âgées dans les EHPAD, où elles auraient dû pouvoir mourir dignement, et les personnes souffrantes de « comorbidités », obésité, hypertension, diabétique, immunodépressif, cardiovasculaires, lesquelles sont des poly-pathologies, qui se traitent en amont…  

Après ce premier manque d’analyse, d’approximations erratiques, nous subissons un deuxième confinement, réputé plus souple, mais tout aussi plein d’incohérences… Même la chaine de télévision LCI s’est posé des questions https://youtu.be/YrxcrMekloQ  
Au point où l’on peut se demander si c’est vraiment l’objectif du pouvoir d’aider les gens à aller mieux, à se soigner mieux, à se renseigner, à se rassurer. J’irai jusqu’à penser que la mauvaise gestion de la crise va entraîner une surmortalité. On verra cela dans quelques mois… Et on a vu Macron, et son gouvernement, continué à angoisser les français…

Ainsi, nous avons subi :

  • Huit « macronades », en 9 mois, distillant de la peur, de l’infantilisation, de la culpabilité pour prendre encore plus de pouvoir sur nous : Macron est-il en guerre contre son peuple ? En tous cas, il a bien compris que le confinement génère le repli sur soi, facilite la prise de décisions liberticides ;
  • Une avalanche d’informations, avec la complicité des ministres, faites d’une série de mensonges et d’inepties, provoquant un sentiment brutal d’abandon, une insécurité absolue, un sentiment anxiogène. Affirmer des choses qui sont démontées ensuite est un des moyens connus de la manipulation. (3)

Hanna ARENDT : « Pour qu’un peuple soit docile et ne comprenne plus rien afin qu’il devienne obéissant sans trop réfléchir, il faut lui donner des injonctions contradictoires en permanence… Et le peuple n’y comprend plus rien. »
Tout cela s’est fait avec l’aide des médias dominants, qui utilisent des « mots étiquettes » pour bloquer la pensée et neutraliser le discours critique : complotistes (4), négationnistes, rassuristes, etc. On s’attaque aux personnes, pas aux idées qu’elles développent, sans engager de réels débats entre les différentes parties, pour se faire une idée la plus claire possible de la crise que nous subissons.

Le lanceur d’alerte américain E. SNOWDEN formule cela clairement : « Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge »
Quand tout le monde ment, on ne croit plus personne. Terrain idéal pour de bouffées délirantes collectives, pour une psychose collective, un climat nécessaire afin d’imposer un projet politique, un mode de pensée à une population. La manipulation peut aller jusqu’à la terreur qui fait naître des comportements inadaptés. Individuellement, les gens ne délirent pas, mais les informations dont ils disposent n’entrent pas dans le cadre d’une discussion rationnelle. Dès que l’on aborde le sujet de la pandémie, les gens deviennent très radicaux… Dans ces conditions, il convient de prendre soin de ceux qui ont peur afin d’essayer de rouvrir l’espace du débat démocratique et scientifique, d’infléchir l’aberrante politique sanitaire actuelle.
On nous a dit que les hôpitaux étaient saturés, alors que l’on savait bien que depuis des années l’hôpital public est en tension. En octobre 2020 les hôpitaux sont aussi saturés :  https://youtu.be/H0uCrBF-7Bs. Surtout après la suppression de milliers de lits.

En conclusion, j’hésite entre deux options.

  • Soit il s’agit d’une manipulation calculée qui serait mortifère afin de nous faire accepter un système politique que la majorité de nos concitoyens refusent…
  • Soit nous sommes gouvernés par une bande d’incapables qui, à force d’erreurs successives, ont mis en grande difficulté l’économie, ont déconstruit nos relations et anesthésier notre société, laquelle n’avait pas besoin de cela…

En attendant, nous pouvons faire les constats concrets suivants :
– atteintes aux libertés de se déplacer, de réunion, de manifestation ;  
– traçage par nos smartphones, alors que la censure s’abat sur les réseaux sociaux ;  
– réorganisation du travail par le télétravail avec attaque contre ce qui reste du code du travail.
– réforme du système éducatif : télé-éducation avec une fracture numérique criante.
– réforme de la santé : numérique, téléconsultations, en attendant le transhumanisme.

Et pendant ce temps, les médias dominants ne relatent pas toutes les manifestations en France et hors de France qui s’opposent au néolibéralisme qui nous opprime.
Et pendant ce temps l’économie française, mais aussi mondiale, est particulièrement atteinte.
Il faut se creuser la tête pour comprendre pourquoi ? Disons plus trivialement : à qui profite le crime ? Suivez la piste de l’argent et du pouvoir, vous serez sur la bonne voie.

Terminons par deux citations à méditer :
Albert CAMUS « Quand une démocratie est malade, le fascisme vient à son chevet, mais ce n’est pas pour prendre de ses nouvelles »
Paul ARIÈS « Les crises donnent plus souvent naissance à des Hitler et des Staline qu’à des Gandhi »

 

            Oncle JEF pour le Clairon de l’Atax le 20/12/2020

 

 

 

 

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Notes
  1. J’ai trouvé à l’OMS le Plan d’Urgence Sanitaire obligatoire, signé en 2005, avec 185 pays dont la France. Ce plan prévoyait les mesures à prendre en cas d’urgence sanitaire ainsi qu’une méthodologie. Notamment par rapport aux droits des personnes : prendre des décisions politiques adaptées, éviter toutes les mesures qui feraient peur où ne seraient pas pour la santé et le bien-être de la population. Le bon sens populaire nous fait comprendre que la France a fait tout le contraire : masques ? amendes ? confinements ?[]
  2. Lequel s’est entêté en permettant seulement aux professionnels et aux jeunes sportifs d’utiliser les remontes-pentes… Quant aux autres, ils prendraient le virus… Surtout en plein air. Ridicule ![]
  3. Quelques inepties pour l’humour : 6 adultes pour le repas de Noël et les vieux à la cuisine / Savoir qui va cuisiner / Prévoir un plan de table / Aérer la pièce, mais il est conseillé de ne pas sortir / Se laver les mains après avoir ouvert son cadeau / Pas de bisous / Réduire la longueur des repas / Prendre l’apéritif debout.[]
  4. Si complotisme il y a. De la part de qui et par qui ? Il faut se poser la question, en termes de profits et de pouvoir, à qui profite cette situation.[]
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