Le samedi 15 avril 2023, sur la place du Forum de Narbonne, a été inauguré le Marché de l’Art, évènement original à plus d’un titre. Conçu pour démocratiser l’accès à l’art, il proposera chaque mois à des artistes différents d’aller à la rencontre du public et proposera non seulement l’exposition/vente des œuvres, mais aussi de nombreux ateliers et interventions destinés à mieux faire connaître le travail des artistes.
Alors que la recrudescence du nombre de contaminations au virus SARS-Cov2 sature à nouveau l’espace médiatique, un peu plus de pédagogie et de précision sur les consignes sanitaires semblent indispensables et marqueraient un réel respect des autorités pour les citoyens. Ce changement d’attitude du pouvoir et des media pourrait-il permettre d’éviter de nombreuses réactions négatives, qui vont du refus d’appliquer ces consignes, jusqu’à la stigmatisation de celles et ceux qui acceptent de les respecter, malgré les contraintes que cela représente ?
Porter un masque ou pas ? Telle est la question. Que révèle l’attitude de certains qui vont jusqu’à prôner le boycott des commerçants refusant d’accueillir ceux qui refusent le port du masque ? Quels enseignements pouvons-nous tirer de la vie quotidienne en compagnie du virus SARS-Cov2 ?
A la suite d’une diffusion erronée de notre dernière lettre d’information “Agenda du Clairon”, signalée par certain.e.s d’entre vous, la rédaction vous apporte quelques précisions
Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage. Tout le monde connaît ce célèbre dicton. Mais pourquoi diable vouloir tuer son chien, s’il n’a pas réellement la rage ? Quelles sont les raisons profondes tout autant que cachées de cette ardeur canicide ? Et d’ailleurs, le canicide putatif envisage-t-il de tuer lui-même le chien ou de le faire tuer par d’autres, en excitant leur peur de la fatale et dévastatrice maladie ? En ces temps agités, le chien c’est la retraite, dont le projet gouvernemental de réforme peut au moins se targuer d’une réussite : avoir mis près de deux millions de personnes dans la rue au cours de trois manifestations successives sur une période de 12 jours. Sans parler de l’inconnue de la période des fêtes qui s’annonce et du début de l’année prochaine.
Après des débuts prometteurs qui, malheureusement, n’ont pas duré plus d’une vingtaine de jours, le nombre de soutiens au Referendum d’Initiative Partagée, visant à éviter la privatisation du groupe Aéroports de Paris, est aujourd’hui très nettement inférieur à ce qu’il devrait être. La moyenne quotidienne des soutiens obtenus décroît de façon désespérante depuis maintenant trois mois, laissant augurer d’un échec. Quelles sont les causes de cette situation, quels sont les moyens pour inverser la tendance et qu’est-ce qui est en jeu ?
Conséquences désastreuses d’une tenace confusion entre économie et finance, entre intérêt général et intérêts particuliers – Tissu social en lente désagrégation – Environnement et biodiversité menacés, autant par des (non-) choix politiques à grande échelle, que par nos pratiques quotidiennes – Fragilisation des libertés publiques et durcissement des répressions – Tous ces symptômes d’une civilisation en voie de régression se manifestent quotidiennement, provoquant chez le citoyen un désir d’agir pour enrayer ce qui ressemble, chaque jour un peu plus, à une inexorable progression vers le pire. Mais peut-on choisir un domaine et un moyen d’action, dans un contexte ou tout semble revêtir la même importance, le même degré d’urgence ?
Une fois n’est pas coutume, l’ASN vient de prendre une sage décision en s’opposant à EDF à propos des huit soudures défectueuses de l’EPR de Flamanville. Mais peut-on se réjouir de voir ce lamentable projet consommer toujours plus d’argent public et prendre toujours plus de retard, alors que la vraie bonne décision serait d’y mettre fin purement et simplement ?